Et si on arrêtait de parler de santé mentale uniquement quand il est trop tard ?

Départ matinal pour Orléans.

Aujourd’hui, j’anime une fresque pour parler de la santé mentale au travail auprès de 80 personnes. Difficile de rêver mieux pour ouvrir la Semaine de la Qualité de Vie au Travail.

Bravo à l’entreprise qui va plus loin que l’affichage : plus de 30 salarié·es déjà formé·es au Premier Secours en Santé Mentale.

Et si on arrêtait de parler de santé mentale uniquement quand il est trop tard ?

– 1 adulte sur 5 concerné chaque année par un trouble psychique

– 31 % des salarié·es disent ne pas avoir une bonne santé mentale

– 24 % vivent un épuisement professionnel

– Mais seulement 11 % osent en parler à un·e collègue

Ce n’est pas la vulnérabilité qui épuise. C’est le silence. Les non-dits. Le tabou.

À l’occasion de la Semaine QVCT, vous pouvez faire autrement. Vous pouvez offrir à vos équipes un vrai temps pour parler de ce qui compte.

L’atelier "Une fresque pour parler de la santé mentale au travail", ce n’est pas une conférence descendante. C’est un format vivant, collaboratif, concret. Trois heures pour poser les bases d’une culture plus humaine, plus sûre, plus juste.

Pourquoi le proposer maintenant ?

– Pour montrer que vous prenez le sujet au sérieux

– Pour créer un espace sans jugement

– Pour prévenir plutôt que réparer

– Pour outiller vos managers et installer une culture de l’attention

Concrètement :

– Groupes de 6 à 16 participant·es par animateur·rice et jusqu'à l'infini (Aujourd’hui, nous serons 6 animatrices pour accompagner 80 personnes).

– 3 heures d’atelier

– À partir de 1600 € HT

– En français, anglais ou islandais

– Sur site ou en format inter-entreprises

– 5 % reversés à Santé mentale France

On ne répare pas des collaborateurs. On prend soin d’êtres humains.



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#QVCT2025